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  • Il y a plus de 2000 ans, vos ancêtres étaient attachés à leurs branches, tout comme n'importe quel végétal comestible. Il y a plus de 2000 ans, Ania Bradford les changea en êtres humains tout à fait acceptables (exceptées quelques différences). Seulement la prolifération beaucoup trop rapide de ces êtres fut vite incontrôlable, si bien que des mesures durent être prises. Un exil, un exil en Amérique, un exil sans retour. Vous voilà donc avec comme seul territoire le vaste continent Américain, vous continuez à y vivre, sans contact avec le reste du monde...

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    On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ EmptyOn ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥
    Dim 1 Nov - 22:45
    Waku
    Membre très fruité
    Membre très fruité
    On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ 4eq5
    Messages : 11
    Date d'inscription : 29/10/2020
    Fruit / Légume : fruit : Bleuet
    Métier/Etude : Écolier de 7 ans ( Année 2 de primaire)

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    Optimiste
    Crédule
    imaginatif
    Très têtu
    amical
    pleurnichard
    sincère
    peureux



    Le personnage
    Bonjour à tous et à toutes ! Moi c'est Waku, je suis une baie Bleuet de genre masculin  parfaitement mûr après 7 années de vie. Je suis écolier de seconde année de primaire. Je ressemble à Kuroko Tetsuya qui vient de "Kuroko No Basket" ! Si si, je vous le jure, tout le monde vous le confirmera...



    L'histoire

    On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ Ddrm


        Waku est né dans l’amour, à sa naissance il ne pesait que deux kilos et n’avait que sept mois. Waku est né fragile trop petit trop tôt. Il fut placé en soin presque aussitôt. Sa maman très inquiète pleurait , alors le Papa est arrivé avec un fauteuil roulant d’hôpital et a dit dans un sourire : « Allez ma Reine allons voir notre petit prince ! » La maman aidée du papa est montée sur le fauteuil d’hôpital et ils ont roulés jusqu’à la pièce de soins pour les bébés très fragiles.

    Waku dormait profondément. La mère le regardait inquiète. Le remarquant le père  a posé sa main sur la vitre de la pièce invitant la maman à faire de même. Le bébé bougea doucement dans son sommeil avant de se rendormir paisiblement. La maman promena sa main sur la vitre, le papa avait mis la sienne sur les épaules de sa compagne.

    « Tu as vu ces cheveux fins et bleus, mon Ange ? » demanda la mère encore un peu inquiète mais esquissant un début de sourire près de son enfant.  « Oui il est bien de la famille ! » rit doucement le père. Il embrassa le front de sa femme en ajoutant : « Et il sera heureux. » La maman la paume toujours sur la vitre observait ce petit être pâle aux cheveux d’azur qui venait de voir le jour, si loin et si près à la fois pour le moment. Mais alors que son sourire se dessinait doucement elle murmura : « Notre enfant est magnifique et tu as raison,  il sera heureux. » Le papa s’accroupit et avec tendresse saisit la main de sa compagne. « Je t’aime Marielle. » Le ton faisait tellement je veux t’épouser ( bien que ce soit déjà fait) que la jeune femme rougit et rit enfin : « Je t’aime aussi Arthur ! » De l’autre coté de la vitre, le nouveau-né était branché à des machines et pourtant quand
    son Papa prit la première photographie de lui l’enfant peu après se mit à sucer son pouce paisiblement malgré le bruit des outils de soins et de surveillances. Il venait, sans le savoir encore, de s’embarquer dans un voyage plein d’épreuves demandant beaucoup de bravoure, mais si rempli d’encouragements et de tendresse. Il venait d’être accueilli par la vie.


                                                               On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ Auga                

              Waku resta un mois à l’hôpital, sa maman aussi, son papa venait tous les jours apprendre avec sa femme, préparer le retour à la maison. Puis ce jour vint enfin. La dernière recommandation des médecins étaient de le tenir bien au chaud. Les parents se relayaient pour cela. Waku était un bébé rires et pleurs comme le disait affectueusement son père. Il avait un sourire et un rire si communicatif en revanche quand il pleurait il était bruyant et difficile à calmer, si dur à apaiser que ça épuisait ses parents. Une fois alors que Waku pleurait encore la Maman se leva les yeux plein de cernes et alla vers la source du bruit mais en arrivant dans la chambre d’enfant elle se sentit étrangement un peu moins fatigué. Waku et son papa dormaient sur un tapis bleu non loin du berceau, le bébé sur le ventre de son papa pleurait encore un peu en son sommeil mais il avait saisi le pouce de son père et de son autre main suçait son propre pouce. La mère attendrie couvrit le mari et le bébé à hauteur du ventre d’un plaid avant de les embrasser tous les deux sur la tête. Elle prit une photographie faisant attention de ne pas les éveiller puis elle s’assit sur le tapis pour les écouter respirer avant exténuée de s’endormir peu à peu près d’eux sur ce même tapis, un sourire attendri aux lèvres.

                                                         
         On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ Vpj0                                  
                                                 
    Waku du haut de ses dix mois sur terre criait et pleurait furieusement. Il refusait la compote sucrée devant lui, les parents bien que fatigués et couverts de compote ne cédaient pas et avec douceur recommençaient à lui tendre la cuillère pour bébé pleine de compote. Waku sanglotait mais où était le lait de maman ? Non non et non il ne mangerait pas cette nourriture infâme ! Puis soudain le papa s’exclama : « Je reviens ! » Il fonça vers la chambre, enfila son costume de lapin, il était animateur et mascotte à Magic Tropical. Il retourna en courant dans la cuisine et se mit  à danser. Waku hoqueta encore un peu de larmes en l’observant puis tapa des mains en riant, la Maman lui reproposa la cuillère de compote et il l’accepta en regardant Papa danser comme un canard. Ce n’était pas si mauvais au final la compote c’était même bon ! Devant cette victoire les deux amants échangèrent un sourire et le papa prit une photo.

                                                                     
                                                                                                  On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ Linj                                                                                

    Un jour où la Maman téléphonait à ses clients qui voulaient commander des livres, son congé maternité était encore d’actualité mais la Maman n’abandonnait jamais ses livres et clients si bien que même si la librairie n’avait pas encore rouverte elle travaillait à distance, elle entendit Waku qui se mit à pleurer dans le parc pour bébé du salon où elle était. Elle se retourna et constata que malgré ses larmes le petit garçon de un an tentait encore et encore de se lever. Elle s’excusa auprès de sa cliente lui proposant de rappeler dans l’après midi puis s’empressa d’appeler son mari. Mari qui en apprenant la nouvelle s’écria : «  Je dois y aller les enfants mon bébé lapinou m’attend pour faire un grand pas vers de nouvelles aventures ! » Sur ce il fit une grande révérences aux petits qui se mirent à rire puis fonça vers l’appartement, oubliant d’enlever son costume de lapin. Il arriva juste à temps pour voir Waku qui après un énième essai fit ses premiers pas. La maman murmura qu’il s’était acharné pendant trente minutes mais réussissait ! Elle souriait très heureuse de la bravoure de son fils. Le père tout aussi fier et attendri  ébouriffa les cheveux du bambin dans un doux : « Tu es très courageux mon garçon ! » La maman prit une photographie de cet instant merveilleux, étincelle de bonheur du quotidien.                                                                                                                                    
                                                                                 On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ 6kj1


    Noël approchait et Waku observait le sapin d’un air interrogatif du haut de ses un an et demi. Un homme et sa fille de onze ans ainsi qu’un petit garçon de six ans accompagnaient son papa. Waku n’avait jamais vu autant de monde. Roniau un chou de Bruxelles était le frère du papa de de Waku. Il avait les cheveux verts et était très grand de taille, il ressemblait à ces coureurs de jeux olymfruitepe, bien qu’il portait un costume d’homme d’affaire. Ses deux enfants, Lou et Timothy, une petite baie de bleuet aux cheveux bleus clairs en nattes , yeux bleus foncés et un petit choux de Bruxelles yeux verts et les cheveux fins de couleur émeraude, s’approchèrent du bébé. D’abord paniqué le petit Waku hoqueta plusieurs fois prêt à pleurer. « Il va pleurer ! » dit Timothy inquiet soudain serrant fort un ballon de Magic Tropical dans ses mains. Lou demanda la permission et sous le regard bienveillant des adultes elle prit le bébé délicatement le petit en ses bras.

    Waku hoqueta une nouvelle fois et Lou se mit à le bercer en chantant : « Qu’il pleuve ou qu’il fasse soleil, le monde sera merveilles. Car tu es près de moi, car je suis près de toi. Les aléas du temps nous feront grandir certainement. Mais tu verras tout ira bien. Car tu es et je suis tout près de toi. Alors embarque dans l’aventure de la vie. Chaque instant sera empli de lueurs qui telles des lucioles guideront tes pas, tu verras, le sourire retrouveras. Et si le vent te fait tomber, je te prendrai par la main. Car tu es près de moi, car je suis près de toi. »

    Le bébé avait cessé de hoqueter et yeux bleus dans yeux bleus, les deux enfants s’observaient, Waku étonné, Lou tout sourire. C’est à ce moment là que Waku éclata de rire en applaudissant de ses minuscules mains. Ce jour là où il découvrit la voix talentueuse de sa cousine, où un bonhomme en rouge ( son père déguisé en Père Noël Tomate) lui rendit visite avec une grosse peluche chat dans les bras et où le bambin avait applaudi pour la première fois dans les bras de Lou sous le regard de Timothy qui sautillait de joie, tout ce petit monde veillé par les adultes fut couronné d’une nouvelle photographie.

                                                                                             
                                                                                                                                                                                              On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ 1ws5


    Waku avait trois ans quand la première crise arriva. Il voyait régulièrement depuis sa naissance un médecin à l’hôpital car il était né très tôt et avait un poids et une taille au dessous de son âge. Docteur Ik, un pruneau très gentil et compétent veillait à ce que son état de santé reste stable.

    Mais la première crise personne ne l’a vu venir.  C’était bientôt la rentrée scolaire, la première rentrée de Waku, dans un mois et demi l’enfant deviendrait écolier de maternelle. Avec Maman et Papa, Waku choisissait un cartable.                                                                          

    « Lui ! Lui ! » s’écria le petit enfant tout heureux montrant un petit sac en forme de mouette et au tissu doux et solide. Les parents sourirent et comme il était coutume dans la famille ils donnèrent un nouveau surnom à leur petit garçon qui adorait courir partout et en toute occasion en criant joyeusement : « Je vole, je vole ! ». « Eh bien adjugé petit Albatros ! »  dit le Papa en lui confiant le sac. Waku poussa un cri de joie. Il se mit à courir en un joyeux : « Les craies de couleur à présent ! Vite vite ! »

    Et soudain, après un rire attendri des parents…

    L’enfant s’écroula.

    Maman courut vers lui, Papa sortit son téléphone. Waku paniquait, il toussait et semblait essoufflé bien que n’ayant que très peu couru au magasin. La respiration de l’enfant sifflait et affolé il avait de plus en plus de mal à respirer. La gorge de Waku le serrait et il se sentait épuisé. «  J’ai », il reprit son souffle, « Papa », il reprit à nouveau son souffle, « Maman » , sa respiration était saccadée et irrégulière, l’un des signes d’une grave crise d’asthme se prononçait : Waku ne pouvait pas dire une phrase complète sans reprendre sa respiration. Les lèvres de l’enfant bleuissait et il se mit à transpirer, il entendait peu son papa et sa maman, il percevait à peine le bruit de la foule de curieux apeurés autour de lui. Il s’évanouit quand les secours arrivèrent.
                                                                                                                                                                                                                                               
    Waku resta plusieurs jours à l’hôpital veillé par ses parents à tour de rôle en plus de leur travail. Une infirmière qui se nommait Eva une cerise très gentille et le trouvant adorable veillait également sur lui, et dès qu’il put de nouveau marcher se mit à courir sans cesse après lui terrorisée qu’une grave crise recommence. Le docteur Ik décida d’aller parler au petit garçon, dans un soupir il lui expliqua qu’il avait une maladie qui gênait sa respiration, qu’il était content que Waku soit si sérieux dans sa prise de médicaments mais ne comprenait pas pourquoi il se dépensait autant malgré les risques d’une nouvelle crise.

    Waku s’exclama assis sur son lit tout sourire en levant haut les bras : « C’est car quand je cours c’est comme si je volais ! Comme un oiseau ! » «  Mais Waku tu cours un danger en te dépensant autant, ici tu te reposes, tu ne cours pas, Mademoiselle Eva est très inquiète pour toi ! » tenta de fixer comme règle le médecin. Waku baissa la tête dans une petite moue triste réfléchissant puis il releva  la tête avec un immense sourire : « Un oiseau n’a mal qu’en tombant pas en volant, alors promis je ne tomberai plus ! » Le Docteur s’exclama sévèrement : « Ne tiens pas des promesses impossibles ! Repose toi à présent ! » Et il ferma la porte.

    Eva entra et le trouva en larmes. Elle le prit dans ses bras dans un doux : «  Ne t’en fais pas Waku le docteur Ik est juste épuisé aujourd’hui, il a veillé toute la nuit et reçu sans pause des petits patients. » Waku avait toujours l’air choqué du comportement inhabituel du médecin. « Même s’il a raison. » soupira Eva  en lui ébouriffant les cheveux. L’enfant maugréa sortant de sa torpeur : « ce n’est pas impossible ! » Eva tenta de lui dire que oui mais le petit enfant se serra contre elle en larmes. Quant il fut calmé il se contenta de lui sourire, Eva paraissait soucieuse mais pas Waku qui savait que cela serait possible ! Il volerait sans tomber !

                                         
                                           
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                         « Aujourd’hui Waku est grand ! » C’est ce que venait de dire Waku du haut de ses quatre ans, là c’était sa vraie rentrée, de vraie de vraie ! Tout fière du haut de ses quatre ans il regarda la classe, elle était belle la classe avec ses banc bleus près d’un tapis, le coin jeu avec un bac débordant de voitures en plastiques et de peluches mélangés. Le tableau non loin des bancs avec des traits que Waku ne savait pas encore lire dessus, et dix petits bureaux d’écoliers non loin du coin jeu avec sous chacun d’eux un bac plein de livres pour jeunes enfants.

    Waku se fit bousculer mais ne tomba pas car il est grand pensa t-il tout fier. Il vit un enfant déposer un nounours dans un bac. Il comprit assez vite après plusieurs enfants faisant de même avec leur doudou que c’était le bac à doudous. Il s’accroupit réfléchissant, peut-être que ce bac était un bus qui emmenait à l’école des doudous ? Mais il semblait cassé sans roue...Comment il allait faire ? Peut-être qu’un méchant lui avait enlevé ses roues ! Il attendit voyant les jeunes enfants entrer en classe un par un.

    Mais un enfant se mit devant le bac à doudou et attendit le regard féroce. « Reto, mets ton doudou dans le bac et va en classe ! » dit la maîtresse une citron au cheveux courts et aux grosses lunettes rondes. « Non Maîtresse ! » bouda le petit garçon. « Eh bien...d’accord, reste devant le bac, tu rentreras quand tu en sauras décidé, et sans le doudou. » insista t’elle.

     Reto avait les cheveux noirs ainsi que les yeux, c’était un raisin qui dépassait Waku en force physique et taille  et pourtant il était à présent à genoux devant le bac son doudou, un nounours vert aux yeux jaunes, en ses bras qu’il serrait très fort. Waku hésita et s’approcha : « Il est beau ton doudou je peux le voir ? » Reto tourna la tête et hésita mais ce petit avait une allure trop jeune pour être dans sa classe, il ne l’avait pas vu l’an dernier en plus ! Il devait être dans la classe des trois ans sûrement… Reto se dit qu’il ne pouvait pas dire non à ce qui pour lui était encore un bébé. Waku serra fort le doudou de Reto dans un : « Je lui donne du courage ! » Puis il tapota le tête enfantine de son camarade de classe : « Et à toi aussi ! » Il s’accroupit ensuite et mit le doudou près du sien et lui fit bouger sa patte de chat. « Bonjour, je m’appelle Minuit et tous les monstres sous le lit de Waku ont peur de moi, je te protégerai si tu veux ! » Se prêtant au jeux Reto essuya ces larmes avec fierté et bougea la patte de son nounours vert : « Moi c’est Rock’N’Roll et je suis fort plus fort que toi ! » «  Mais je peux être ton ami même quand on est très fort on est plus heureux avec des amis ! »  dit Waku continuant à faire bouger son doudou chat. Reto sembla hésiter la main sur la peluche avant de la lever dans un : « D’accord ! Alors je te protégerai et je vole regarde ! Je suis un nounours volant ! » Waku eut un grand sourire et s’exclama : « Minuit et moi sommes heureux ! »

    La maîtresse les surveillant du coin de l’œil sourit, Reto était un petit dur et se bagarrait souvent, disait souvent Non, elle le savait bien depuis l’an dernier dans le groupe des petits. Mais près du nouveau de sa classe il semblait s’adoucir. Au point qu’il accepta de laisser Rock’N’Roll avec Minuit et consentit à suivre Waku dans la classe ben qu’étonné qu’il y rentre avec lui. Très Petit, à l’air maladif et bambin mais si fort de bienveillance pressentait la maîtresse envers Waku alors que Reto racontait ses exploits de héros à celui-ci ou plutôt les farces qu’il adorait faire comme la colle sur la chaise. « Mais comment la personne elle se décolle après ? » S’inquiéta Waku. « Bêta ! C’est pas fait pour qu’elle se décolle ! » éclata de rire Reto quatre ans. Waku ne comprenait pas tout mais il aimait bien que Reto lui raconte alors il demanda encore et encore à Reto de raconter ses prouesses, ce que Reto fit sans aucune résistance sous le regard émerveillé et le grand sourire plein d’un sincère bonheur de Waku.

    La boîte à doudous n’était plus là à midi et ne revint que le soir. « C’est une boîte magique ! » murmura Waku à Reto, là ce fut Reto qui ne comprit pas. « Elle vole jusqu’à la classe des doudous comme un tapis volant. » ajouta petit Waku. « Il va avoir peur tout seul  Rock’N’Roll ... » maugréa Reto avant d’ajouter précipitamment : « Rock’N’Roll il est super fort hein ! C’est juste qu’on est super ami ! » Waku dans un sourire tout grand répondit : « Mais il a Minuit à protéger ! » Reto sembla réfléchir puis répondit consolé : « Oui et moi j’ai toi ! Alors ça va ! On continue mes souvenirs de super héros ? »  Waku hocha la tête pour dire oui, très  heureux.

        On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ U3ts          
                                                           
      Quand Waku eut cinq ans, papa décida que la fête se passerait sur son lieu de travail, le patron accepta de lui donner des entrées gratuites si les enfants invités se costumaient. Il le précisa dans l’invitation. Il invita toute la classe, il vinrent presque tous sauf Reto. Tous riaient à cet anniversaire mais pas Waku. Waku il attendait Reto. A midi, il en eut assez et refusa de souffler son gâteau les joues gonflés. Il enleva même son costume de fée qui se constituait de deux ailes sur son dos et une branche de bois : la baguette ‘’ Magique ‘’, baguette qu’il posa sur la table en un silence boudeur.

    «  Il veut voir son ami Reto ! Je crois.. » expliqua une camarade déguisé en tigre orange. « Ils sont toujours fourrés ensemble ces deux là ! » ajouta t-elle.

    Alors Papa eut une idée, il coupa une grosse part de gâteau, la mit dans un tupperware et s’exclama : « Nous irons lui donner ce soir d’accord Waku ? » Waku acquiesça consolé et tout sourire. Le reste de la journée se passa très bien, malgré la Ventoline que Waku inhala plusieurs fois contre son asthme. Waku s’amusa énormément, ses invité set son papa aussi ! Et ce même si dans un coin de sa tête il avait hâte d ‘apporter à Reto sa part de gâteau à la fraise et à la crème que sa maman avait fait aidé de son Papa, ils s’étaient donnés à fond, seuls ils étaient maladroits en cuisine mais pas à deux, si bien que le gâteau fut très bon !


                                                                                  On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ 7icq                                                                                                            
    Reto boudait assis sur un banc. Il commençait à faire nuit et tous les enfants avaient été ramené chez eux. La voiture dut s’arrêter à un feu rouge et Waku regarda par la fenêtre en s’écriant : « C’est Reto ! C’est Reto ! » tout heureux. Waku était encore trop jeune pour saisir l’inquiétante situation qu’un enfant de cinq ans attende dehors en début de nuit sur un banc.

    Le père arrêta la voiture près du trottoir, Waku détacha sa ceinture, et aidé de son papa qui le prit dans ses bras pour que rien ne lui arrive de mal, il s’approcha du petit garçon sur le banc. Le père lui posa plein de questions mais Reto resta silencieux. Il lui proposa alors : « Tu veux venir dormir chez nous cette nuit ? Mais si tu acceptes je veux le téléphone de tes parents avant ! »  Reto ne répondit pas, le père hésitait  à appeler la police, c’est alors que Waku s’écria avec un grand sourire candide : « Allez viens Reto, je t’ai gardé du gâteau, une très grossse part ! » Reto se leva et dit : «  D’accord je viens ! » en rendant son sourire à Waku puis donna le téléphone de chez lui.

    Le père appela aussitôt puis s’exclama d’une voix qui sermonne  : « Ils acceptent que tu viennes chez nous et sont heureux que tu sois retrouvé et pas blessé, ils étaient très inquiets tu sais ! » Voyant que le petit Reto semblait absent, il n’insista pas. « Allez monte on va jouer plein plein ! » s’exclama Waku tout sourire. Alors Reto sourit et monta. Bien que n’ayant ni le cœur à jouer ou à sourire, il était heureux que Waku le trouve une nouvelle fois, même il avait trop de fierté pour admettre qu’au fond Waku l’aidait autant qu’il aidait Waku.

    La soirée se finit en restes de gâteau et batailles de polochons et de coussins emplis de rires ! Puis quand Papa arriva pour annoncer que demain école et qu’il était temps de dormir, il trouva Waku endormit tête sur les genoux de Reto. Il aida Reto à mettre son ami au lit, Reto mit le doudou chat de Waku sur celui-ci que dans son sommeil Waku attrapa en un câlin en souriant.

    Puis Reto fixa l’adulte en silence, adulte qui devina que l’enfant voulait parler sans savoir de quoi. Il l’invita dans un murmure pour ne pas éveiller Waku à le suivre dans le salon. Une fois au salon, un silence s’en suivit puis Reto serra Rock’N’Roll contre lui dans un sec : « Pourquoi les parents parfois ça s’aiment plus ? Ça disparaît aussi vite qu’ils s’aiment, qu’il s’aiment plus ? » De grosses larmes perlèrent sur les joues de Reto qu’il essuya vite. «  Moi en tout cas, je vous jure que j’aimerais toujours Waku, toujours ! » s’exclama Reto sévèrement avant d’ajouter en un sourire heureux et fier : « Car vous savez Waku je dois le protéger, je suis son héros rien qu’à lui ! »  Le père qui avait écouté le petit de cinq ans attentivement se leva, ouvrit la commode sous les yeux de Reto qui ne comprenait pas ce qu’il faisait jusqu’à… « Un peu de chocolat ! Ça chasse tous les ennuis ! Tu en veux ? » dit le Papa tout sourire. Reto rit mais pas trop fort, Waku dormait à coté , en voyant la tablette de chocolat dans les mains du papa de Waku et accepta dans un clin d’oeil :  « D’accord mais on en laisse à Waku pour demain matin ! »

    Le lendemain, Reto rentra chez lu, il ne se fit pas gronder mais serré fort par les deux parents très inquiets de la journée d’hier. Il fut décidé que le petit garçon serait chez son père les Weekends et la moitié des vacances dans un ville avoisinante de  Tropica. Quand Reto essaya doucement d’expliquer ses futures absences à Waku, l’enfant s’exclama émerveillé : « Alors ton papa c’est le Papa Noël Tomate ! J’en suis sûr et il te prend en stage de temps en temps !  Moi je voulais être le Papa Noël Tomate mais ça ne me gêne pas si c’est toi ! » « ... Dis un jours je pourrais vous aider ?  »  ajouta  Waku en souriant mais les joues rougies de gêne. Reto accepta n’osant pas dire non à cette théorie farfelue dont Waku en avait le secret et à laquelle l’enfant aux cheveux bleus croyait fort. Reto trouvait cette famille de cheveux bleus heureuse et merveilleuse et pour rien au monde il ne voulait que le sourire de Waku s’attriste. «  Waku  mérite le bonheur et ce pour toujours ! » pensa Reto du haut de ses cinq ans.

                                                                                                 On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ 8p03                                                        

                                                                                                                          A Noël, Waku reçut son premier jeu-vidéo, un jeu de courses de voitures auquel il joua avec ténacité avec sa maman. Il gagna la moitié du temps. Sa mère l’autre moitié. Au moment où ils allaient faire la belle, il s’écroula en une nouvelle crise d’asthme plus forte que les minuscules habituelles qu’il gérait avec son inhalateur. Quand il s’éveilla le lendemain, le docteur lui fit des reproches : « Tu cours en cachette Waku n’est ce pas ? » L’enfant se renfrogna : « Mais moi je veux voler ! » Le docteur soupira : « Mais je t’ai dit que ce n’était pas possible ! Un enfant ne vole pas ! »

    Il mit une main sur sa face, fatigué. Jusqu’à entendre des bruits  de larmes : « Ananas Pan, dans l’histoire il vole lui ! Alors c’est possible ! » Le docteur sortit de la pièce en soupirant ne sachant plus quoi faire pour que Waku comprenne que courir était mauvais pour lui.

    Alors que ses parents discutaient dans le couloir, Reto accompagné de sa mère entra en trombe dans la chambre d’hôpital criant presque : « WAKU, JOYEUX NOËL ! » « Reto, ne crie pas à l’hôpital ! » gronda un peu la maman du petit raisin. Waku en voyant son ami retrouva aussitôt le sourire. Reto lui tendit un paquet. « C’est pour moi ? » s’étonna Waku. « «Yep ! » dit Reto tout fier. Dedans le paquet il y avait  un cerf-volant. Reto s’exclama en souriant : « Quand tu iras mieux on ira le faire voler, d’accord ? » « D’accord promis juré ! » répondit joyeusement Waku cinq ans et demi, les yeux emplis de joie

    Quelques jours plus tard, le cerf-volant s’envolait dans le parc nommé le potager, les adultes eux parlaient sur un banc proche, les deux familles devenant peu à peu amies. Voir ce cerf-volant dans ce ciel bleuté et s’amuser sous le soleil avec un Waku qui avait retrouvé la forme entraîna des larmes à Reto, Waku s’en inquiéta et le petit garçon Raisin bredouilla : « C’est juste que je suis heureux ! » Waku lui fit un grand sourire dans un : « Tenez, essayez capitaine ! Notre avion va parcourir le ciel comme un fier et fort aigle, je vous le promets ! » Reto sourit prenant la poignée du cerf-volant. Ses larmes s’était taries grâce à son ami qui aimait autant courir que les oiseaux, cet ami qui rêvait beaucoup et était aussi merveilleux que fragile.

    Ce petit bleuet qui avait retrouvé le petit raisin !
                                                                                                   
                                                                                             On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ 4lz7



        Waku du haut de ses six ans rentra en primaire. Il avait préparé son cartable seul et sérieusement si bien  qu’au milieu de ses cahiers il avait un carnet multicolore. Il salua Reto et…. le contenu de son cartable mal fermé se renversa, Reto l’aida à ramasser dans un sourire qui semblait dire que c’était bien son Waku ça ! C’est alors qu’il remarqua le carnet et le prit. « C’est un secret ! » annonça Waku rouge pomme. «  Mais je veux bien le partager avec toi si tu ne dis rien aux autres, ils se moquent déjà pour le Père-Tomate ! » Reto ébouriffa les cheveux de Waku dans un juré promis et Waku lui montra ses dessins en les expliquant. A travers les dessins enfantins, Reto découvrit un peu plus que Waku était passionné et croyait en l’imaginaire.

    Oui Waku est rêveur , tout devient imaginaire pour lui, un seau ? Un chevalier a dû le laisser là ! Les étoiles dans le ciel ? Ce sont là où dorment les lucioles la nuit ! Un train ? Il faut se faire le plus lourd possible sur son siège pour ne pas qu’il fugue des rails pour partir à l’aventure ! La directrice de l’école ? Un fantôme qui hante les lieux depuis toujours tant elle aime son boulot ! La preuve elle se donne à fond ! Un bébé pleure ? Vite il faut lui souffler sur le nez ! Une méchante sorcière a dû lui envoyer de la poudre de tristesse ! Sa grosse peluche chat ? Son copain de toujours, il a toujours été là pour lui ce n’est pas sa faute s’il ne parle pas, il a trop de cœur et pas assez de place pour les mots en lui c’est pour ça que son doudou ne parle pas ! Les feuilles d ‘automnes sous le vent ? Des messagères entre les enfants et les oiseaux ! Il pleut (même si c'est rare ) ? Ça doit être un nuage qui s’est perdu ! Vite vite il faut ouvrir la fenêtre et toutes les lumières de la maison pour qu’il retrouve son chemin ! Le soleil brille ? Ça veut dire que beaucoup de gens ont ri aujourd’hui et c’est super ! Les Marécages ? Ça doit être une jungle  avec des alligators géants  qui parlent avec une voix terrifiante et sont les serviteurs des monstres obscurs qui se cachent sous les lits, si bien qu’aucun pied ne doit dépasser de la couverture si on ne veut pas être kidnappé ! Le lac du potager c’est sûre qu’il y a des sirènes-pastèques ou pastirène dedans ! Le casino où on peut pas aller ? C’est car il y a des espions super forts dedans avec des épées lumineuses pour chasser les monstres du Melon-cauchemar qui veut faire peur à tous car il a été oublié par le Père-Tomate enfant et ne sait pas qu’il ne l’a pas fait exprès le Père-Tomate, il n’a qu’une nuit pour tout distribuer !

    Sur ce, Waku ferma le carnet dans un : « Puisque ton Papa est le Père Noël Tomate, ce serait bien qu’il donne un cadeau à Melon-cauchemar cette année, comme ça il sera consolé... » Puis Waku secoua la tête déçu : « Non c’est une mauvaise idée, au début ça aurait marché mais Melon-cauchemar il a trop de colère en lui alors la méchanceté le ronge et je ne veux pas qu’il blesse ton Papa-Tomate ! »

    Soudain une coccinelle se posa sur le dos de la main de Waku, Reto et lui la regardèrent quelques minutes puis elle s’envola et la regardant partir Waku dit émerveillé : « Tu sais Reto, les coccinelles ce sont elles qui dessinent les arcs-en-ciel là haut ! » La mine de Waku prit un air rêveur un peu triste : « J’aimerais bien voler moi aussi ! » Waku sourit doucement en pensant qu’il le faisait déjà. « Voler ce n’est pas que dans le ciel ! » conclut Waku pensant à la course qui le rendait parfois si mal mais qu’il ne lâcherait pour rien au monde. Voler...

        On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ Sxa2      


    Du haut de ses sept ans, Waku comme souvent dormait à l’infirmerie de l’école. Reto assis sur une chaise lui tenait la main. Une infirmière arriva, inquiète, elle dit : « Je me demande pourquoi ce petit garçon s’obstine à courir à ce point, ça le rend malade ! »  Reto soupira : «  Je crois qu’il le sait Madame c’est juste que ce n’est pas tout  fait un petit garçon... »  L’infirmière lança à Reto sept ans un regard interrogatif. «  Il « vole » en courant, Waku est persuadé de cela et ça le rend libre et heureux ! » Reto se leva et sourit tristement à Waku dans un : « Hein petite canaille ! » Puis en quittant l’infirmerie, l’infirmière l’arrêta d’une parole : « Tu es son ami pourquoi ne lui dis-tu pas d’arrêter de se faire mal ? » Reto soupira les adultes avaient tous des difficultés de compréhension décidément, il lança un coup d’oeil à Waku qui se reposait paisiblement.

    « Pour Waku, ce n’est pas se faire mal. » tenta t’il à nouveau d’expliquer. «  Et je ne couperai pas les ailes à mon meilleur ami, personne ne lui coupera les ailes ! » Les yeux de Reto s’embrumèrent : «  Personne ne pourra l’empêcher de courir qui qu’il soit et qu’elles qu'en soient les conséquences. » L’infirmière dit en s’approchant : « Reto, tu pleures ! » « Je dois aller en classe, dîtes lui s’il se réveille que je repasse ce soir ! » répondit Reto en s’enfuyant en courant. Si Waku est heureux comme ça c’est OK, pas pleurer pour ça, pas pleurer ! Alors pourquoi Reto n’arrivait pas à arrêter ses larmes ?                                                                                                                      
     

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    Lou
    TC de Lou ( qui joue Lou et Rise) née le 03/11/1988
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    Lun 2 Nov - 22:56
    Elvire
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    On ne peut pas couper les ailes d'un oiseau qui veut voler / Waku/ Terminé ♥ 60a0cc09987e348f77eaca14c05fd3b53646a090
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    Félicitations !
    Cela faisait un petit moment que je n'avais pas vu ce petit bout de chou. Je suis nostalgique. Il est plus sucrée que le sucre avec des parent beaucoup trop choupi ouin. Je te félicite d'ailleurs que ton plus grand drame ne met personne dans le coma ou ne tue quelqu'un. hihi On voit facilement l'obstination de Waku et l'amour que lui porte Reto Je shippe. On a déjà parlé des petits points à faire attention en rp, mais j'ai hâte de le voir évoluer dans cet univers  coeur 3  coeur 3

    Toutes mes félicitations ma petite verdure, tu es désormais validé ! Après étude intensive et acharnée de ta fiche, nous avons décidé que tu feras partie du groupes des Sucrée.

    Cela signifie que tu peux dès à présent aller jouer ton personnage dans la partie RP ! Tu trouveras sur la barre tous les liens dont tu pourrais avoir besoin! Si tu n'as pas d'RP, fais une demande! Si tu as des amis, la fiche de liens est là pour toi.  De plus, si jamais cela ne te suffit pas et que tu cherches un membre de l'entourage de ton personnage précisément, tu peux tout de suite aller écrire ton scénario en espérant qu'il soit prit le plus rapidement possible !

    Pour les petits plus, tu peux demander un rang ou un logement ( pour ne pas être Sans Fruit Fixe!). Ce n'est pas obligatoire mais cela fait toujours son petit effet. Dans le non-obligatoire, tu peux aussi terminer de remplir ton profil, y rajouter des informations complémentaires et même y ajouter une petite icone pour faire joli !

    Ton avatar et ton métier sont automatiquement recensés lors de ta validation (mais n'hésites pas à aller checker si tout est bon et à nous le signaler si ça n'est pas le cas).

    Nous avons à peu près fait le tour, mais voici le plus important : surtout, amuse-toi bien parmi nous !

    Love, Peace and vegetable !
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